dimanche 5 juillet 2015

Les averses d'automne - Tuna Kiremitçi


Mme Rosella Galante, une vieille dame habitant Genève embauche Pelin, une jeune étudiante originaire de Turquie, pour faire la conversation en langue turque. De ce rapport contractuel naît une amitié qui autorisera les deux femmes à s'ouvrir et se raconter. Et le roman nous invite à suivre leurs discussions, je dois l'avouer, pas vraiment intéressantes. Bah oui, je n'ai pas eu une lecture très enthousiasmante. Je n'ai pas trouvé d'intérêt aux deux personnages. Mme Galante, juive allemande, raconte son séjour à Istanbul pendant la seconde guerre mondiale quand Pelin lui parle de ses "histoires" de cœur et ses problèmes familiaux. J'ai lu sans émotion. Ni plaisir, ni intérêt. Le néant complet. Le roman n'est qu'un long dialogue au rythme lent profondément ennuyant. C'est plat. C'est mou. C'est ronflant. "L'un des jeunes auteurs les plus prometteurs de la littérature turque" dit la maison d'édition. Eh bien je passe encore une fois à côté. 

Les averses d'automne, Tuna Kiremitçi, Galaade Editions, 218p, 17€

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